Présentation :
Harry Fayt est un jeune photographe belge dont le travail est principalement axé sur une recherche esthétique liée au thème de l’eau. Comme pour beaucoup d’artistes passés et présents, la représentation du beau et surtout la femme le fascinent, l’influencent et le guident dans ses choix artistiques. Il décide de photographier des corps féminins sous l’eau, un composant pur, complexe et vital de la vie. Séries après séries, de nouveaux éléments apparaissent, une recherche technique en amenant une autre, pour au final tel un alchimiste de la beauté atteindre une transcendance esthétique... “Le beau originel”.
Pour une raison qu’il lui est impossible d’expliquer, depuis l’âge de 4 ans il n‘a jamais aimé nager à la surface, comme si être sous l’eau était une seconde nature pour lui. Dans ce genre de photographie tout relève du challenge : la technique, la sécurité, les modèles, les décors. C’est un défi constant de stratagèmes et de créativité pour Harry Fayt et son équipe. Plus le projet est grand, plus il est excitant.
Dans ses nus aquatiques, il recherche la beauté, la pureté, le surréalisme. Il aime sublimer le corps féminin, le voir évoluer sans aucune pression extérieure, aucune résistance. Le corps, ses courbes, ses rondeurs comme il est impossible de les voir autrement. Dans toute son œuvre, son leitmotiv c’est créer l’improbable, l’inexistant et d’éveiller les curiosités …
Biographie:
Né en 1979 à Charleroi (Belgique), Harry Fayt a une révélation à 15 ans en feuilletant les magazines de mode. Comme tous les adolescents, les modèles le fascinent, mais les photographes qui les subliment le fascinent tout autant. Il commence alors à s’intéresser au monde de la photographie de mode.
C’est à 16 ans, rêvant de photographier les plus belles femmes du monde, qu’il entreprend des études de photographie à Namur. Ses études terminées, pas encore très sûr de lui, il parcourt l’Europe et réalise des portraits de musiciens pour la presse spécialisée.
En 2006, il ouvre son studio à Liège. Trois ans plus tard, il investit dans un équipement spécialisé pour la photographie sous l’eau et réalise ses premières prises de vues aquatiques de bébés nageurs. Puis très vite, après des tests avec des amies, sa passion rejoint ses premières émotions artistiques : la photographie de mode, qu’il décide de réaliser sous l’eau.
Cependant, sa curiosité le pousse à s’installer à New York pour ouvrir un nouveau studio. Mais ce séjour sera de courte durée, car 7 mois plus tard, entrevoyant alors une réussite professionnelle certaine, des problèmes administratifs l’obligent à revenir vers son pays natal.
A son retour, parallèlement à ses séries de mode et de portraits sous l’eau, il commence un travail plus personnel qui le ramène vers l’essentiel, « la Femme» sans artifice, dans sa plus simple expression, celle du corps nu. Au fil de ses recherches, son travail évolue et trouve encore un autre public, le milieu artistique des galeries et des collectionneurs. Ses nus aquatiques attirent une attention toute particulière de par son originalité et sa singularité.
En 2013 c’est Bruxelles qui lui offre sa toute première exposition qu’il enchaine très vite avec divers salons à Bruxelles et à Paris. En octobre 2013 Harry Fayt devient un artiste coté suite à la vente d‘une œuvre unique chez Cornette de Saint Cyr Bruxelles. Harry Fayt est maintenant à la conquête des plus grosses capitales artistiques tout en perpétuant un travail qu’il veut de plus en plus surréaliste.